Voilà un rêve de moi que j'ai tennu à ecrire en roman pour m'en souvenir et eventuellement en réaliser une partie...
Ne jamais ouvrir les yeux…
Nathalie était sur l’ordinateur. C’était une jeune fille de 13 ans et une de ses activités préférées était celle de passer des heures entières sur Internet.
Elle discutait avec Amandine sur Internet, mais elles durent se quitter car Nathalie retourna dans sa chambre.
Elle prit son stylo à encre et barbouilla quelques notions et exercices de mathématique sur une feuille durant une heure entière, avant de prendre son crayon et de se mettre à dessiner sur son cahier à croquis. Il était 21h25. Sa mère entra dans sa chambre, puis repartit, et c’est après cette longue journée qu’elle s’endormit dans un profond sommeil…
Le lendemain, elle se réveilla. Il faisait déjà beau et chaud et cette fin d’année, même avec le brevet qui arrivait, s’avérait très agréable.
Après avoir prit le bus, Nathalie se rendit dans la cours et y rejoignit Agnès. Elles se mirent à marcher dans la cours mais la sonnerie ne retentissait jamais. Le avait sûrement de l’avance, à vrai dire elle ne savait pas vraiment. Nathalie leva les yeux. Après un court moment de réflexion, elle baissa la tête. Le tour suivant, Agnès n’était plus avec elle, et Nathalie marchait seule à présent. En fait, elle était seule dans la cours, presque seule. Presque seule, car il y avait ce garçon, Bastien. Depuis presque un an, elle l’observait et essayait de l’approcher.
Elle le vit marcher dans sa direction. Sans attendre, elle lui adressa un timide « bonjour », qui attira l’attention du jeune garçon. Il s’arrêta.
« Bonjour Nathalie… »
Alors il se souvenait d’elle ? Son cœur battait à la chamade et c’était a peine si elle osait respirer. Elle était si proche de lui… plus que jamais.
D’une traite, elle lui déballa ses sentiments qu’elle cachait depuis un an, elle lui raconta quelques événements de sa vie, et lui, il se taisait. Nathalie s’arrêta.
« Ça va ? Qu’est-ce que tu as ? »
Il avait baissé la tête, et son air joyeux avait disparut de son visage. Il semblait perdu, son regard était vide. Elle se tût.
Lentement, le jeune garçon releva la tête, et la regarda. Son regard était froid, et ses yeux si beaux et attirants étaient presque apeurants, comme remplis de tristesse et de haine.
« Pourquoi ne me l’as pas tu dis avant ? »
Elle n’avait pas entendu. Il répéta. Il la répéta tant de fois, cette phrase si blessante, si triste, triste à en mourir…
Le cours était silencieuse, mais la sonnerie brisa ce terrible et lourd silence plein de remords et de tristesse.
Sans la prévenir, Bastien la prit tendrement dans ses bras.
Nathalie se mit à pleurer, elle ne pouvait plus s’arrêter… elle le serra contre elle jusqu'à sentir son cœur sur sa poitrine, et elle ferma les yeux.
Elle rouvrit les yeux… qu’est-ce qu’il faisait froid… mais…
Une larme coula lentement sur son visage… juste un rêve… On dit qu’un rêve est une illusion, pourtant il sait briser les cœurs, et cela pour de vrai…
Pourtant mon cœur me sert à vivre, et s’il s’arrêtait de battre, alors je mourrais d’amour…
Fin!!
Ca me rend triste, moi.
Bon, vous en pensez quoi, de ma nouvelle?